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3 mois d’accompagnement PERSONNALISÉ pour montrer ce que tu sais VRAIMENT faire en compétition

Arrêter d’être paralysé par la peur

Veille de cette compétition importante,

22h30

Vous êtes allongé dans votre lit, mais votre esprit refuse de s’arrêter.

Votre cœur bat plus vite que d’habitude, et chaque battement semble résonner dans votre poitrine.


Vous repassez encore et encore chaque mouvement, chaque détail de la journée à venir.

Et si vous échouez ?

Et si tout ce pour quoi vous avez travaillé s’écroule en un instant ?

Vous essayez de respirer profondément, mais rien n’y fait.

Le stress est là, palpable, vous empêchant de trouver le sommeil.

Vous savez à quel point il est important d’être reposé, mais plus vous y pensez, plus la pression monte. Vous regardez l’heure :

23 h 45.

Puis minuit.

Les heures défilent et l’angoisse grandit.

Le lendemain arrive et la fatigue se fait sentir. Votre corps est là, mais votre esprit est ailleurs, dispersé.

Quand vous parlez vous êtes évasif, à moitié présent, vous manquez de réactivité, vos gestes sont bridés, vos prises de décisions sont hasardeuses.

Ce stress que vous n’arrivez pas à contenir vous vole l’opportunité de briller à votre plein potentiel. Toutes ces heures à la salle, à la l’entraînement, chez le kiné, à faire attention à ce que vous manger, à dire non aux invitations de vos amis…

Tout ça gâché le jour J. 

Rémi Guillot

Éducateur sportif avec une licence STAPS entraînement sportif.

Ancien entraîneur de rugby et actuellement éducateur tennis.

Praticien en Programmation Neuro Linguistique auprès de l’IFPNL.

Co-créateur de Imagine expérience: un protocole d’entraînement de préparation mentale intégrée.

Pour en savoir plus sur mon histoire, cliquez ici.

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Sportifs accompagné en prépa mentale

Et si. Et si vous pouviez transformer cette pression en un moteur puissant ?

Votre esprit est clair, concentré, prêt à performer. Vous entrez dans la compétition avec la certitude d’être prêt, chaque fibre de votre corps alignée avec vos objectifs. 

Lorsque vous domptez cette pression, vous ne vous contentez pas de survivre à la compétition.
Vous l’attaquez avec confiance, vos gestes sont précis.

Vous arrivez rapidement à vous adapter à un imprévu ou à un changement de tactique.

Vos choix sont mesurés, en fonction du moment présent plutôt que de réagir en panique et regretter juste après.

Avec un accompagnement mental sur mesure, vous pouvez apprendre à dompter cette pression, à la transformer en énergie positive et en focus sur ce qui est réellement important pour vous. 

Imaginez-vous vous réveiller excité d’enfin pouvoir montrer tous les progrès que vous avez fait à l’entraînement.

Pour les sportifs de haut niveau qui veulent briller lors des moments décisifs sans passer sa vie en thérapie.

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Et si votre mental devenait votre plus grand allié sur le terrain?

Ne laisse plus la peur prendre le dessus sur votre passion. 

Je ne suis pas magicien et je n’ai pas non plus les réponses aux questions existentielles que nous posent cet univers.

Se lancer durant 3 mois d’accompagnement personnalisé n’est pas fait pour tout le monde. Il demande de l’engagement et une volonté réelle de progresser.

Mais si vous êtes prêt à investir dans votre mental autant que dans votre physique, alors ensemble, nous pouvons transformer vos pensées en un moteur puissant de succès.

Ce n’est peut-être pas pour vous maintenant, et c’est très bien ainsi. Mais si vous ressentez au fond de vous qu’il est temps d’élever votre jeu mental au niveau supérieur, 

Engagez-vous pour ce qui compte vraiment! 

3 mois d’accompagnement PERSONNALISÉ pour montrer ce que tu sais VRAIMENT faire en compétition

Arrêter d’être paralysé par la peur

On dit que le plus important c’est de prendre contact, lance toi dans le grand bain tu n’as rien à perdre ta première session diagnostique est gratuite.

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Moi aussi…

Je vivais pour la course à pied. A l’entraînement, chez moi, dans la cours de l’école. Chaque prétexte était bon pour courir.

Seulement, dès que mon entraîneur annonçait la prochaine compétition, une pointe dans le sternum apparaissait. L’anxiété tapait à la porte. Un mois avant la course, déjà…
Dès que l’on me parlait de compétitions, de sport ou à la vue de mes chaussures,

je commençais à stresser.

« C’est facile, tu es favori! »

Mes amis voulaient me rassurer : “C’est facile pour toi pourtant, tu es favori”; “tu vas gagner aujourd’hui”; “au pire ce n’est pas grave si tu perds”; “et puis tu t’en fiches, ce n’est qu’une course…”; etc.
Mes parents m’encourageaient et me disaient de tout donner.
Mon coach avait confiance en moi et savait de quoi j’étais capable.
J’étais soutenu mais au fond, ça ne changeait rien.

Le jour de la compétition était un calvaire…
Je ne contrôlais plus rien et ma confiance en moi était au plus bas. Il pouvait m’arriver lors des grosses compétitions d’avoir des suées, et des vertiges.

Je n’arrivais plus à penser clairement. Durant la course, je n’étais plus lucide, je prenais de mauvaises décisions. En peloton de tête, il m’est même arrivé de me tromper de chemin en pleine course et voir la médaille m’échapper.

Qui me regarde?

J’avais peur de rater la course. Avec le recul c’est évident.
Pire encore, j’avais peur que l’on ne m’estime plus.
Tant de reconnaissance m’avait été donnée grâce à mes résultats.
Si je ratais, qu’allait-t-il se passer?
C’est la fierté de mes amis, de mon entraîneur et de mes parents qui était en jeu dans ces courses. Maintenant je le sais. J’étais persuadé que je décevais tout le monde.

L’anxiété, le stress, puis la frustration et la colère.
Tous ces efforts à l’entraînement pour ça. Toute cette montagne de pensées, tous ces moments à se refaire le film pour ça?
Quand je me projetais, je ne me voyais plus courir.

Pourquoi certains arrivent en compétition avec cette peur comme moi, alors que d’autres arrivent le jour J, à se dépasser?

Je voulais changer, je voulais progresser, je voyais que c’était possible ailleurs, alors pourquoi pas moi?


Je découvre en STAPS, la psychologie du sport, la compréhension du cerveau humain. 

J’y ai appris les fondements de la confiance en soi, l’origine de l’anxiété et la perception du stress dans le sport. Humm la perception du stress, enfin une partie de la réponse…
Mais je ne me suis pas arrêté là!

Je suis praticien en Programmation-Neuro-Linguistique à Lyon. (Une branche de la psychologie)

J’ai découvert les structures de l’efficacité et je les ai appliquées sur moi.

Le plus important encore, j’ai entrepris un accompagnement avec un préparateur mental.

Avec la mise en pratique de ses principes, j’avais retrouvé le plaisir de courir.
Je n’étais plus la même personne. Je me sens lucide durant la course car j’ai préparé les éventualités. J’avais la conviction que mes proches étaient fiers de moi non pas pour les résultats que je produisais mais pour le simple fait de rentrer dans l’arène et de me faire plaisir. 

Durant la course j’étais concentré sur ma foulée, ma respiration, les moments pour attaquer, temporiser, je kiffais quoi!

 Bref, je courais pour moi.

Il me tardait la compétition et j’en redemandais.
A la fin d’une course pour laquelle je me suis le plus entraîné. Dans les bras de mon coach.
Mes jambes avaient du mal à tenir debout…
La phrase que je lui ai dite spontanément:


« Oh non ! Ne me dites pas que c’est déjà fini…” 

Vivons la plus belle expérience humaine qui soit, pour votre chemin, pour vos médailles.